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w/ @katsumi yamamoto
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La nuit était tombée depuis plusieurs heures, son envie de dormir aussi. Dès l'instant ou leur conversation avait débutée, il s'était surpris lui-même à apprécier cet échange et le fait d'en savoir davantage sur ce petit bout de femme au caractère explosif et délicat à la fois. C'était l'opposé de son genre et pourtant, tous les rassemblaient, tout le poussait à courir vers l'interdit, à céder à une tentation bannit par sa raison qui le suppliait de ne pas faire les choses à l'envers, qui l'incitait à se sortir ses idées confuses de cet esprit qui s'inventait des scénarios imaginaires et plaisant. C'est de cette façon qu'une poussée d'inspiration avait germée dans son esprit, incitant ses envies à se faire couler un bain pour s'y prélasser. Son petit côté Français savait où puiser pour se ressourcer et c'est plongé dans l'eau brûlante, entouré de quelques bougies parfumées qu'il avait ouvert une bouteille de vin rouge. Sa mère en était fan et il avait certainement hérité de son goût cru pour ce nectar carmin, assez pour qu'il n'ait une cave dans son domicile secondaire dans lequel il résidait le week-end. Quoi qu'il en soit, il avait besoin de se détendre après de telles révélations sur les passes temps de son professeur du vendredi, des révélations qui lui avaient fait tourner la tête, qu'il l'avait littéralement fait tomber de son lit, d'où ce besoin irrépressible de prendre du bon temps dans sa baignoire, son carnet à dessin entre les mains et armé d'un stylo il griffonnait des mains, des phalanges, des paumes qu'il avait déjà reproduites auparavant. Plus les traits prenaient forme, plus elles étaient identiques à celles de Katsumi. Inutile de préciser que ça commençait à lui taper sur le système de ne pouvoir se défaire de ce besoin de tout mettre sur papier, de ne pouvoir dessiner qu'elle. Qu'avait-elle fait pour qu'il en vienne à poser son obsession sur ses mains douces qu'il désirait pouvoir toucher à nouveau, qu'il brûlait d'envie de pouvoir serrer dans les siennes, juste quelques minutes, peut-être quelques heures, assez pour se souvenir de chaque détails, chaque grain de beauté qui embellissait davantage sa personne. Difficile de définir ce qui se tramait dans sa tête mais ce brouillard troublant l'avait poussé à inviter la jolie japonaise à partager ce bain, ce bain qui était le sien et dont il avait coloré l'eau d'un bleu qu'elle apprécierait forcément, plongé dans une mousse épaisse, tout ce cinéma juste pour ses beaux yeux, pour rendre les choses moins étranges, comme si au fond, ils s'étaient toujours connu. Yosku soufflait, dégageant une mèche de cheveux humide qui lui gênait les yeux, s'impatientant secrètement de l'arrivée de celle qui faisait inexplicablement chavirer ses désirs les plus profonds.

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w/ @yosku petrov
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c'était étrange et totalement stupide ce que j'étais en train de faire aujourd'hui. voilà que j'avais conversé quelques heures avec Yosku et que j'étais en train de me rendre chez lui, en nuisette, au beau milieu de la nuit. qui serait aussi fou pour faire ça si il était un tant soit peu intelligent et qu'il se rendait compte qu'il était en face de son ennemi juré. mais vous savez, la curiosité est un vilain défaut alors oui, quand j'en avais apprit un peu plus sur ce mystérieux garçon, j'avoue que je fus tout d'abord choquée de pouvoir constater que lui et moi étions assez semblables bien que sûrement extrêmement différents. alors oui, j'avais préféré écouter la petite voix dans ma tête qui me poussait à explorer de nouvelles pistes et me voilà dans un uber, pyjama caché sous un trench rouge en guise de simple tenue. j'avais tout de même prit mon sac à main pour y planquer les clés de mon appartement, quelques sous pour le trajet et bien évidemment des préservatifs puisqu'ils ne quittaient jamais la petite poche interne. et une fois sur place, je payais la gentille chauffeuse qui m'avait conduite jusqu'ici même si c'était sur son trajet avant de monter dans l'immeuble du garçon, priant pour que ses voisins ne rentrent pas à cette heure-ci et ne me croise dans un tenue peu adéquat au point de penser que le jeune russe aurait commandé une escort girl. et une fois devant la porte, je me rappelais qu'il avait laissé la porte ouverte alors, j'entrais sans demander l'autorisation, retirant mes chaussures dans l'entrée par simple politesse et habitude surtout avant de poser ma veste et mon sac sur un porte manteau et aller jusque la salle de bain, laissant mon téléphone portable sur le canapé au passage. une fois devant la porte de la salle d'eau fermée, je tapotais simplement quelques coups avant de soupirer. « c'est moi... » annonçais-je, venant empoignée la porte pour l'ouvrir et faire face à un Yosku dans son bain à bulles bleues. j'avais sérieusement pensée qu'il rigolait quand il disait avoir mit une bombe de bain dans l'eau pour la rendre plus colorée mais il l'avait vraiment fait et, un sourire amusé se forma à la commissure de mes lèvres avant que je ne referme la porte derrière moi afin de garder la chaleur dans la pièce. j'avançais timidement avant de lui tendre quelques snacks japonais que j'avais ramené avec moi puis je viens à m'asseoir sur le rebord de la baignoire, l'observant sans trop insister, clairement gênée par la situation puis je me laissais tenter à glisser ma main dans l'eau chaude pour faire de petits mouvements avec celle-ci et clapotant ma langue contre mon palais. « tu.... peux fermer les yeux le temps que j'entre dans le bain s'il te plait ? » parce que clairement c'était spécial de se mettre à poil devant un mec qu'on ne connaissait pas tant que ça et surtout quand on à couché qu'une seule fois avec quelqu'un et qui s'avère être votre meilleur ami. alors que le garçon s’exécutait sans rechigner, je finis par retirer ma nuisette, la posant dans un coin de la salle de bain et finissant par retirer mon sous-vêtement bien que j'en avais peur. mais bon, j'allais pas le laisser nu dans l'eau tandis que moi je ne jouais pas le jeu. je finis par glisser un pied après l'eau dans l'eau puis m'asseoir en attrapant la main du garçon pour éviter de tomber stupidement. je fus tout de même surprise de voir que la baignoire n'avait pas de difficulté à nous garder tout les deux dedans sans que l'eau ne déborde et sans avoir lâché la main du garçon aux cheveux bleus, je venais à rabattre un peu de mousse vers moi. « c'est bon, tu peux les rouvrir. » lui dis-je timidement avant de lui offrir un petit sourire tandis que je venais à lâcher mes cheveux, retirant l'élastique qui les attachait.

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w/ @katsumi yamamoto
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D'un point de vue externe, si Katsumi avait été seulement au courant de qui elle s'apprêtait à venir rejoindre, avec qui elle allait partager un bain, elle ferait assurément demi-tour. Derrière ses airs d'artiste en herbe, de grand passionné d'art et de musique, se cachait toute la noirceur d'un monde. Un univers où paillettes et couleurs n'existaient pas, où les sourires dormaient sur les visages des défunts, où les bâches en plastiques, les outils coupants et la torture était l'unique moyen de se distraire et où la red room était le seul terrain de jeu possible. Yosku s'évertuait à faire souffrir, à abattre les mauvaises personnes, si bien qu'il en était devenu une. Les abîmes du mal l'attirait dans leurs profondeurs et il s'y noyait avec jouissance, mais ce soir – ce soir, cette part de lui dont personne n'avait connaissance n'existait plus, elle n'avait jamais existé, coulant sous les flots des désirs qu'il s'autorisait aux côtés d'une fille peu ordinaire et qui, à sa grande surprise, lui ressemblait étrangement. Elle tombait amoureuse de l'art, des tableaux et lui rêvait secrètement de pouvoir noircir ses pages de ses courbes, de ses formes, de ce corps qu'il s'imaginait parfois involontairement lorsqu'il fermait les yeux pour s'endormir. Elle était sûrement l'idéale féminin de beaucoup d'hommes, mais elle était physiquement le sien, physiquement et psychiquement. Les plans amoureux étaient bannit de son vocabulaire alors cette nuit-là, juste une fois, il s'autorisait un plan mousse et bougies parfumées avec celle qui, plus tôt, l'avait de ses mots, fait tomber de son lit pour lui arracher bon nombre de sourires aussi niais les uns des autres. Alors, lorsqu'une douce voix parvenait à ses tympans, il contenait cette envie inavouable de venir sans attendre s'emparer de la tentation qu'était ses lèvres – à la place, il tournait la tête dans sa direction, laissant flirter un rictus satisfait à la commissure de sa bouche. « Et c'est moi », rétorquait-il, d'un ton amusé avant qu'elle demande à ce qu'il ferme les yeux un instant. « Bien sûr » répondait Yosku, abandonnant son carnet sur le sol avant de poser ses bras sur les rebords de la baignoire, les yeux clos. Il la laissait s'installer, se pliant à la règle de garder les paupières fermées jusqu'à ce qu'elle lui offre l'opportunité de les ouvrir à nouveau ; en attendant, il pouvait profiter du moment en s'insultant moralement d'être si faible au simple contact de leurs mains qui était parvenu à lui arracher un frisson. Lorsqu'elle donnait enfin son feu vert, il rouvrait les yeux, s'extasiant secrètement de cette vue dès plus sublime qui l'incitait à prier tous les dieux sataniques possibles pour que jamais ça ne s'arrête. « La nudité c'est définitivement la tenue qui te va le mieux », souriait Yosku alors qu'il caressait la main de Katsumi, l'air de rien - « Tout ça pour dire que tu es splendide ». Afin de détendre légèrement cette atmosphère qui semblait assez nouvelle pour sa partenaire, il s'aventurait à prendre un peu de mousse pour la lui mettre sur le nez ; « là c'est mieux ».

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w/ @yosku petrov
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ses paroles eurent le don de me tirer un sourire radieux alors que je m'installais sur le rebord de la baignoire et que je venais à glisser quelques doigts dans l'eau brûlante, me demandant comment il faisait pour rester là dedans. j'avoue avoir laissé mes yeux divaguer allègrement sur le corps du garçon à demi immergé dans la baignoire, caché sous de la mousse blanche. puisque j'étais encore prude sur le point de vue intime, j'avais demandé à Yosku de cacher ses yeux pour me laisser le temps de me glisser dans l'eau. j'essayais de dépêcher, pour ne pas le laisser trop longtemps dans l'obscurité et je finis par me laisser aller dans l'eau bleutée avant que l'une de mes mains ne vienne à saisir la sienne pour lui faire signe qu'il pouvait rouvrir les yeux et contempler à sa guise la vision d'un binôme qui partage le même bain, sans savoir exactement comme la suite des évènements se dérouleront. encore une fois, ses paroles tirèrent mes commissures vers mes tempes, d'un sourire ravie et pourtant quelque peu gêné puisqu'il n'était que le deuxième homme à me voir ainsi. le rouge prenait place sur mes pommettes, créant une barre sur mon nez qui me donnait cet air timide et mignon. c'était assez perturbant d'être dans cette situation présentement mais au final, pourquoi avoir peur ? au pire, ce n'est pas comme si nous nous étions déjà chauffer mutuellement par messagerie instantanée. je finis par arquer un sourcil en le voyant se mouvoir et mettre ses mains dans l'eau avant de pointer le bout de mon nez et mettre de la mousse sur ce dernier. je laissais un rire sincère et mélodieux sortir de ma bouche, avant de faire de même. je venais à attraper de la mousse et la lui tartiner sur le visage, lui créant une barbe des plus viriles, continuant à rire de façon enfantine. je me rapprochais quelque peu de lui, rabattant mes jambes de plus en plus contre ma poitrine, laissant ma main glisser contre son épaule, sa nuque, profitant de la douceur de sa chair avant de coincer mes doigts dans les mèches bleues qui tombaient en cascade à l'arrière. « t'es vraiment plus sexy comme ça. un vrai hipster ! » lui soufflais-je alors que mon visage se rapprochait dangereusement du sien, sans pour autant venir à l'embrasser, juste pour le taquiner, le tenter à faire ce geste de lui-même si seulement il en avait envie.

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w/ @katsumi yamamoto
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La voir se rapprocher de lui, ça lui plaisant d’autant plus, presque autant que de la savoir nue si proche de son corps. Difficile de prendre sur soi et de ne pas tendre la main, juste un peu, pour effleurer sa peau, embrasser ses lèvres, sa mâchoire, son cou, se jouer de ses longs cheveux bruns, glisser sa paume dans la sienne puis, ensuite, ne faire qu’un. Il ne pu rétracter un sourire, celui-ci s’étant déjà de lui-même tracé lumineusement à la commissure de sa bouche. Il reprenait bien rapidement le fil de la situation en fronçant les sourcils, arborant un air exagérément sérieux pour finalement laisser échapper un fin rire cristallin. « J’ai toujours rêvé d’avoir une barbe, mais ça pousse pas », avouait-il en tirant la moue, portant ses doigts jusque la longue crinière sombre de Katsumi afin de glisser l’une de ses mèches derrière son oreille, plongeant son regard dans le sien pour s’y perdre définitivement. « Tu sais que t’es la fille la plus troublante que je connaisse ? », déclarait Yosku, un rictus en coin, puisque bien évidemment, il fallait qu’il ait un faible pour les personnes un poil étrange, peut-être même carrément dérangée. Sa paume glissait sur sa joue et son pouce venait aussitôt retracé la courbe enivrante de ses lèvres, louchant sur ces dernières à plusieurs reprises, avant de reprendre ; « j’aime bien les filles pas comme les autres ». Il passait le dos de sa main sur le bas de son visage pour en extraire la mousse avant d’approcher son facies du sien sans la moindre hésitation, comme si, d’une certaine façon, il attendait ça depuis une décennie. Inévitablement, sa bouche venait délicieusement percuter la sienne dans un baiser qui se voulait dans un premier temps, tendre. Il ne désirait pas la brusquer, elle avait de toute évidence pas l’habitude de partager des moments d’intimités avec des hommes et il n’avait aucunement envie qu’elle ait l’impression qu’il bâcle ça en deux deux, histoire de simplement tirer son coup avant de la mettre à la porte ; c’était un meurtrier, pas un connard. Yosku prendrait le temps qu’il faudrait, ils iraient à son rythme à elle, au rythme avec lequel elle se sentirait le plus à l’aise, peu importe si ça signifiait devoir l’embrasser des heures durant pour qu’elle se sente prête, il s’y résoudrait avec le plus grand plaisir. C’est alors contre ses lèvres qu’il mouvait les siennes, sa paume sur sa mâchoire pour en détenir les secrets de ses traits si attirant. Katsumi était une véritable et déesse et elle serait sienne ce soir.

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w/ @yosku petrov
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j'étais encore une enfant dans un sens alors oui, enfouir mes mains dans la mousse et la tartiner délicatement sur le doux visage du garçon m'avait plutôt bien fait rire. il est vrai que certains asiatiques avaient du mal à faire pousser une barbe descente de part leur légère pilosité et au dire du garçon, cela semblait être son cas. dans un sens, ça m'arrangeait. je n'aurais pas à subir les bisous qui piquent de beau matin ou de le voir squatter la salle de bain pendant des heures parce qu'il devait se raser. j'imagine qu'il le faisait quand même mais que c'était plus pour une question d'esthétique plutôt que pratique. « ooh... c'est parce que t'es encore un bébé petit chat. toi t'es Simba, il te manque ta crinière pour devenir Mufassa ! » lui dis-je en le laissant glisser sa main dans ma tignasse, déplaçant une mèche pour venir la coincer derrière mon oreille avant de laisser ses magnifiques prunelles noires se perdre dans les miennes. je fus totalement charmée par ce regard si intense, si sombre. une esquisse se forma à la commissure de mes lèvres, alors que je venais à glisser mon index sur le bout de son nez, y retirant un peu de mousse qui s'était perdu par là. « à ce point là ? » lui demandais-je, confuse de savoir que je pouvais lui faire autant d'effet alors qu'en temps normal, on était fait pour se haïr, se taper sur la gueule comme deux gamins qui ne se supportaient pas le moins du monde. la situation était quelque peu ironique d'un point de vue extérieur mais au final, ne dit-on pas que les opposés s'attirent ? alors pourquoi pas ce qui se détestent ne pourraient pas finir ensembles ? il osait glisser ses doigts contre ma joue, puis mes lèvres avant de baisser les yeux vers ce dernier, un nouveau rictus venant se coller sur mon faciès avant de remonter doucement mes yeux vers les siens. ma main venait à glisser à son tour dans sa chevelure pour dégager son front d'un geste délicat. tellement perdu sur le haut de son visage, je n'avais presque pas remarqué qu'il venait d'essuyer une partie de mousse de son visage. je ne réalisais pas vraiment ce qu'il venait de faire avant de simplement sentir la douceur de ses muqueuses contre les miennes. c'était étrange comme atrocement agréable. mon cœur venait de se serrer dans ma poitrine, manquer un battement puis redémarrer en chamade, d'une pulsation qui m'en ferrait presque mal au sternum. une douleur vive mais bizarrement plaisante. qu'est-ce qui se passait ? qu'est-ce qui n'allait pas tout d'un coup ? cœur bringuebalant je venais à mouvoir mes lèvres au rythme des siennes avant de me coller un peu plus contre lui, réduisant férocement l'espace entre nous bien que la baignoire ne soit pas super confortable mais comme j'appréciais être dans l'eau, ce n'était pas plus mal et ça ferrait une nouvelle expérience. je restais accrochée à ses lippes pendant un long moment, du moins jusqu'à ce que je sois à court d'air et pendant tout cet échange, je n'avais pas arrêté de venir glisser mes doigts sur son visage, venant principalement retirer cette mousse qui trônait sur ses joues mais je prenais également un malin plaisir à redessiner sa mâchoire si carrée, si prononcée avant de simplement décaler mes lèvres contre cette dernière, l'embrassant autant avec envie que prudence. « j'ai pas... beaucoup d'expérience dans tout ça. » lui avouais-je dans un murmure presque honteux alors que ma bouche remontait doucement jusqu'à sa tempe.

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