l’italie a son lot de beauté, c’était quand même quelques choses que Romeo pouvait reconnaitre. peut être que si c’était pas un con pas fini, il aurait pu avoir un vrai recule sur les choses. quoi qu’il en soit, mademoiselle lara-jean kim avait demander au jeune homme qu’il l’accompagne pour acheter sa robe et comme un bon gentleman qu’il est, il a dit oui. (surtout que c’est écrit dans le contrat, alors il se doit de se dire oui). les derniers jours passer ensemble était étrange, la mère de Romeo n’avait jamais passer autant de temps avec lui. en trois jours ils avaient manger trois fois ensemble, deux midis et un soir, et elle avait même proposer au couple de venir boire un verre après que le restaurant soit fermer. Romeo ne se souvient pas de la dernière fois ou sa mère avait était aussi présente dans sa vie, les souvenirs sont tellement vague qu’il ne sait plus si c’était bien sa mère ou Lucy Liu dans Charlie et ses drôles de dames. « LARA JEAAAAAN! » Romeo sauter de sa voiture pour rejoindre la demoiselle sur le port. ils allaient prendre un bateau pour aller jusque dans la ville d’en face afin d’avoir plus de magasin. ceux de marques étaient trop cher pour une seule soirée, et bien que Romeo s’en fiche pas mal de dépenser de l’argent, il voulait qu’elle est une jolie robe local qu’elle pourrais porter l’été prochain ou même en hiver avec une paire de collant. il a toujours trouver les dames qui gèrent les boutiques artisanal gentilles et il les considèrent presque de sa famille. Il presse le pas jusqu’à sa petite amie pour venir coller ses lèvres contre les siennes, ses mains viennent se coller à son dos qu’il pousse doucement vers lui pour effacer l’espace qui les éloigner encore. un grand sourire se dessine sur ses lèvres alors qu’il la tire jusque dans le bateau. « ça va ? t’as pas peur en bateau j’espère. » lui, non, mais il avait pas envie de la voir gerber par dessus bord. surtout dans une mer aussi bleu.

Capri était un endroit magnifique et aujourd'hui, j'en avais profité que ma mère veuille profiter de la mer pour l'accompagner. un sac de pique-nique et nous nous étions rendu dans une petite crique sympathique toutes les deux afin de passer un moment entre filles. c'était agréable de pouvoir être simplement avec elle, mais voilà qu'en début d'après-midi, elle avait décidé de retrouver mon père à l'hôtel alors, j'en avais profité pour appeler Romeo et lui proposer de m'aider à chercher une robe de bal, parce qu'il avait son mot à dire aussi sur ma tenue. après tout, c'est pas parce qu'on avait pas mit toutes les modalités dans le contrat que ça ne devait pas s'appliquer. et puis, si on devait continuer à feinter sur notre couple, il valait mieux qu'on agisse comme tel aux yeux des autres, aux yeux des habitants de l'île qui devaient sans doutes connaître plus qu'un peu le nom des Chamberlain. et il avait proposé Naples, parce que c'était plus grand qu'ici, plus touristique aussi et qu'il y avait bien plus de choix en matière de costumes et robes là-bas. et puis, pourquoi pas profiter d'être sur le continent pour jouer les touristes ? Romeo devait sans doute aussi connaître le coin et j'avoue qu'être non loin du Vésuve, ce mythique volcan me donnait ce petit côté enfant surexcité.
j'étais sur le port, à attendre le vrombissement de la voiture du garçon, une voiture qui semblait coûter un bras et qui était au dessus de mes moyens pourtant, extrêmement confortable soit-elle. il en sortait, avec sa déguène de gosse de riche et ce sourire ultra craquant en coin de lèvres. bon sang qu'est-ce qu'il pouvait être mignon quand il agissait comme ça ! puis voilà qu'il pressait le pas juste avant de venir sceller un baiser, profiter lui aussi de la douceur de la journée. un baiser tellement doux que ça pouvait même me porter à confusion et le considérer presque comme mon vrai petit-ami. il était délicat malgré ses grands airs, il était attachant et même protecteur envers moi en tout cas puisque je ne savais pas comment il agissait avec les autres filles qu'il avait pût fréquenter. un sourire davantage plus grand fendait mes lèvres alors qu'il me tirait dans le bateau et qu'il gardait sa main dans la mienne, nos doigts entrelacés ensembles. "non ça va. enfin, j'ai jamais pris le bateau mais je pense pas avoir peur." parce que quand on était arrivés à Capri, c'était par les airs alors via la mer. je ne savais pas le moins du monde. "merci au fait d'être venu. alors ? t'as fais quoi de ta matinée ?"

Romeo avait déjà fait ces cotes des milliers de fois, enfant ils prenait un bateau de pêcheur pour pagayer eux mêmes jusqu’au rivage. il se souvient encore du rire cristallin d’Andy et de Louison à chaque fois qu’il sortait des algues de la rives pour les jeter dans leurs cheveux. il est rester le même gosse, jusqu’il fait un bon être quatre vingt dix maintenant. il aide sa douce a s’assoir, cette fois-ci c’était un petit navire privé qu’ils prenaient et un capitaine vachement gentil. « c’est pas ouf hein, on ira sur un vrai yatch pour le nouvel an. fin autant qu’ami du coup. » il avait oublié que tout ça aller prendre fin un jour, depuis le début de la semaine il a presque oublié qu’il ne connaissait que depuis sept ridicule jour. « De rien, c’est dans le contrat. » dit-il dans un murmure en se penchant vers la demoiselle. il lui adresse ensuite un sourire, les mains toujours poser sur les siennes. « j’ai dormis toute la matinée. » d’ailleurs elle l’avait réveiller quand elle est partit au petit matin. a 10h, il fixer le plafond n’arrivant pas à se rendormir, il a du mettre un porno pour se détendre et dormir deux bonnes heures de plus. « et toi ? c’était bien avec ta mère? elle t’a poser des questions sur nous? » Romeo savait pas trop comment c’était du coter des parents de LJ. à vrai dit il se souvient même pas si il les avaient déjà croiser ou pas. il se souvient avoir vu des photos et il sait que la mère Chamberlain leur a offert une suite plus prestigieuse, mais il se souvient pas avoir eu ne vrai discussion avec eux. ils arrivent déjà et Romeo est fou d’impatience, il se jette du bateau alors qu’il est encore sur le plus de larguer l’encre, il fait d’ailleurs un rouler bouler sur le quai, avant de lacher un « wooooh, j’suis vivant! »

moi, j'étais complètement novice dans ce pays, c'était l'endroit qui m'attirait le plus au monde et pourtant à part un buongiorno ou un gracie mile je ne connaissais pas le moindre mot alors, j'étais bien ravi que Romeo ait accepté de m'accompagner car en plus d'avoir son mot à dire sur la robe, il était assez calé en italien et ça aidait beaucoup ! le bateau qui nous attendait était un petit truc sympa, un bateau qui paraissait tout aussi cher que la voiture de monsieur Chamberlain mais qui était cosi et sans chichis, de quoi faire la traversée tranquillement jusqu'à la grande ville et discuter, les cheveux au vent. en plus de se soucier de moi, il venait aussi à attrapé ma main fermement après être monté en premier pour m'aider à grimper dedans. on s'était assit à l'avant, pleine vue sur les vagues qui se brisaient sous la proue du bateau. "donc tu veux bien de moi pour le nouvel an ? faut que je coche que j'suis avec toi ce jour-là et que je prévois rien d'autre ?" le nouvel an... c'est encore loin mais si il arrive à se projeter jusque là c'est qu'il voulait réellement que son plan marche ou peut-être qu'il finissait par apprécier le fait d'être "en couple" qui sait ? et le contrat, il était pas obligé de le suivre à la lettre, après tout, c'est lui qui était à l'origine de toute cette mascarade alors, il pouvait se permettre ce qu'il voulait. étrangement, de tout le trajet, je n'avais pas laché sa main et n'avais pas non plus cessé de venir caresser le dos de cette dernière du bout des doigts tout en l'écoutant parler ou répondre à ses questions. il avait donc dormit toute la matinée. gamin fatigué. mais j'avoue qu'il était atrocement mignon quand il dormait, parce qu'il avait cette sale manie d'avoir la bouche légèrement entrouverte pour laisser l'air s'échapper dans un minuscule ronflement propre à lui et qu'il s'étalé comme une grosse loque sur tout le matelas quand il n'était pas en train de m'étouffer contre lui. il finit par me demander si j'avais passé une bonne matinée en compagnie de ma mère et j'hochais la tête positivement. "oui ça va ! elle te passe le bonjour d'ailleurs. et elle aimerait bien que tu viennes manger avec nous un jour. rien de bien extraordinaire mais aller chez un glacier ou un truc du genre, j'ai pas trop compris son charabia. et elle à aussi très hâte de te rencontrer, trop hâte même qu'elle m'a volé mon téléphone pour voir ta gueule en photo dessus." ma mère, c'était une femme un peu trop enthousiaste, elle s'excitait pour un rien et là, elle s'impatientait limite que j'ai un enfant avec Romeo. sauf qu'elle tombera de bien haut quand en décembre je devrais lui annoncer que Romeo et moi avions soit disant rompu. je la vois déjà venir et aller chercher le garçon pour avoir des explications pendant que je lui dirais que non, c'est moi qui ait décidé de rompre bien que ce soit d'un accord commun. "et elle veut aussi voir la bague..." elle me tânait à longueur de journée avec ça parce que d'après elle, on voit un bon mari à travers la bague qu'il vous offre. maman, t'es vraiment chiante parfois. on arrivait et le capitaine de bateau manœuvrait doucement mais voilà que Romeo faisait son kéké et qu'il s'était jeté sur le ponton tel un ninja de Shaolin Wuzang. un rire franc s'échappa de ma bouche tandis qu'un sourire fendait mes joues jusqu'à mes tempes. "aller viens m'aider Rafaello !" bah quoi ? il se prenait pour une tortue ninja, pourquoi pas lui donner le nom d'une d'entre elles ? puis j'avais remercié le capitaine de la façon la plus coréenne qui soit par une courbette et un merci gentil avant de serrer un peu plus mes doigts autour de ceux du blond, prenant peur de voir autant de monde d'un coup sur le port. "tu connais des boutiques pour acheter une robe ou alors on fait les touristes ?" évidemment qu'il devait connaitre le coin puisqu'il vivait ici presque tout les étés et qu'il avait sûrement dû vivre ici durant des années.

il avait parlé du nouvel an sans vraiment ce rendre compte que c’était un peu trop loin, et surtout que c’était hors contrat. tout ça ne devait pas durée trop longtemps, pour Romeo, 4 mois dans une même relation c’était beaucoup, mais dans une relation ou tout avance à la vitesse de l’extreme comme actuellement c’était pire encore. un frisson le traverse, il a envie de dire à Lara-Jean qu’au final on verra bien ce qui se passe au 31 au soir et que si ça se trouve, il sera obliger d’aller a une soirée déguiser avec la coloc. l’idée ne lui déplait pas pourtant, de s’imaginer donner son premier baiser de 2019 a sa fausse petite amie. il lache un rire quand il s’imagine la mère de LJ. il la voyait bien tirer de toute ses forces sur le portable pour voir le fond d’écran de Lara et essaie d’avoir des détails sur leur relation, la famille de LJ était vraiment saine, elle avait de la chance d’avoir des parents aussi présent. « j’suis pour. on ira a celui en bas du village, il fait les meilleurs glaces aux spéculos de tout l’Italie. » il était sérieux, il se souvient pas de meilleur glace que ceux de Giovani et en plus, y avait des vendeurs à la sauvette qui vendait des imitations de sac de lux et j’peux vous dire que Romeo se gène pas pour s’acheter 5 fausses ceintures Gucci d’un coup. car après tout, il fait souvent le con, comme tout le suite et il abime rapidement des choses qui ont une trop grande valeur. S’il portait pas des Lacostes au pied, il se serait surement jeter dans l’eau transparente et aurait passer la journée a secouer ses cheveux tremper sur LJ. « j’adore tes références mademoiselle. » il se redresse et passe sa main autour de sa nuque, elle était si petite qu’il pouvait poser son bras sur sa tête sans le moindres effort. « Je connais des pures italiennes qui font des robes à tombé. vient. » il n’avait pas relever le point de la bague, car il n’avait aucune idée de comment faire. Son père insister lourdement a donner la première bague qu’il avait acheter a sa mère. d’une valeur sentimental inestimable. le père chamberlain n’a jamais baigner dans la richesse, il s’est fait tout seul et il a tout construit autour de son amour pour sa femme. pour lui, le plus important est de trouver sa moitié, c’est pour ça qu’il tenais a donner cette bague bon marcher à Romeo, que ce soit une tradition. mais un frisson le traverse, il ne veux ps donner quelques choses d’aussi vrai a une fausse relation. ils pénètrent dans le magasin un peu vieux, un peu habité par la poussière, Romeo pousse un rideau de perle et court jusqu’à une vielle dame surprise de le voir. « Nooooonna! » elle était heureuse de le voir, elle caresser sa tête avec vivacité, répétant sans cesse ‘mi lontra’ ma petite loutre à plusieurs reprise. « j’te présente Lara, c’est ma petite amie. enfin, mi fidanzato. » il attraper la main de LJ pour la tiré un peu plus, afin de la présenté.

j'avoue que le 31 Décembre, c'était un peu long tout de même mais, l'idée de pouvoir embrasser Romeo à la première seconde de la nouvelle année me faisait sourire. j'avais jamais eu de petit ami dans la période des fêtes de fin d'années alors si ça pouvait arriver, je serais vraiment ravie. sauf que là, il y avait une ombre au tableau, c'est que le 31 Décembre précisément, il fallait qu'on annonce ne plus être ensembles, avoir rompu parce que nos opinions sur la façon d'élever nos enfants divergés chez l'un et chez l'autre. rien que ça, et voilà que ma moue passait de la joie à la tristesse en une fraction de seconde. j'avais pas spécialement envie que ça s'arrête parce que, j'étais heureuse comme ça et que j'avais jamais autant apprécier passer des moments loin de mon ordinateur depuis bien longtemps. soudainement, un sourire réapparut sur mon faciès avant d'hocher la tête positivement. "on ira où tu veux Romi. après tout, tu connais bien mieux le coin que moi et si tu me dis que les glaces d'en bas du village sont les meilleurs c'est que c'est véridique." j'en avait profité pour caresser sa mâchoire du bout des doigts et poser un baiser sur sa joue. il avait finit par sauter du bateau en marche, rouler-bouler sur le ponton et pose de ninja digne des tortues ninjas. pour ma part, étant en compensées, je ne pouvais me permettre de faire l'idiote à moins que je me casse la gueule sur le bois. et j'ai faillis, en descendant du bateau, parce que ma chaussure avait dérrapée mais heureusement, je serrais tellement fortement sa main dans la mienne qu'il m'avait en quelque sorte aidé malgré lui.
on marchait jusqu'à une boutique aux apparences assez vieillottes et je me demandais sérieusement pourquoi il m'emmenait ici au lieu d'une boutique de luxe mais, lorsque j'avais passé la porte et le rideau de perles, j'avais remarqué que le frenchy avait laché ma main pour courir vers une dame qu'il prit dans ses bras. j'étais timide de nature alors, j'étais restée en arrière pour observer la scène juste avant que Romeo ne se retourne et attrape ma main pour me présenter à la dame comme étant sa petite amie voire même sa fiancée. si il feintait même auprès des gens qu'il appréciait énormément et avec qui il était tactile, c'est peut-être qu'il se plaisait à avoir ce statut ? "buongiorno signora. piacere di conoscerti." lui soufflais-je en lui tendant la main, un grand sourire aux lèvres. merci Romeo de m'avoir apprit quelques mots en italien, ainsi, je pourrais me débrouiller et passer pour la femme parfaite aux yeux des autres. et j'avais regardé autour de moi alors que le garçon lui parlait. je comprenais maintenant pourquoi il m'avait emmené ici, parce que les robes qui étaient présentées étaient magnifiques et qu'elles pouvaient autant être porter en ville comme lors d'un bal de prestige.

il ne pensait jamais emmener qui que ce soit ici. il avait garder cet endroit comme un secret, son secret à lui. gosse, avant que les cousines Chamberlain ne débarque, il venait ici dire bonjour à ses mamie, à ses être de douceur qui lui caresser la tête avec vivacité en pinçant ses joues rosé. C’est sa vrai famille, les vrais femmes qui ont fait de lui l’homme qu’il est. C’est à elle qu’il passer des heures à choisir un cadeau de noël, à elle qu’il promet d’être sage le long de l’année. il avait pousser Lara-Jean dans l’entre et les deux vielle dames ne se font pas prier pour venir embrasser la joue de la gamine. elle semblait petite et effrayer, mais à la fois émerveiller de découvrir un endroit aussi beau cacher dans cette boîte à chaussure hideuse. « on vient chercher une robe, tu peux lui faire voir Nonna? » la vielle dame acquiesce en secouant positivement la tête. elles déballent des robes coloré, courte, longue, des pantalons classe mais aussi des tailleurs. pendant ce temps, l’autre vielle dame demande des nouvelles à Roméo, tout deux commence alors une discussion passionné sur les études de Romeo et son entrée à harvard. elles semblent être fière de l’entendre être dans une école aussi prestigieuse. « je l’ai rencontrée là bas. elle était… au premier rassemblement d’élève. je l’ai tout de suite remarquer dans cette marré de gens. elle était.. brillante et étincelante comme la plus belle des étoiles. et je n’ai jamais pu détournée le regard d’une si belle chose. j’étais juste envouter par sa personne. incapable de voir ce qui se passer autour de moi. » les yeux de Romeo n’avait pas quitter ceux de Lara-Jean une seule secondes. ils n’avaient pas a jouer la comédie ici, ils pouvaient être eux mêmes, mais Romeo d’écrivaient juste ce qu’il avait ressentit le deuxième fois après le contrat, quand Lara-Jean a été une belle femme forte et indépendante et se dresser de son être contre la mère Chamberlain en disant ô combien son fils n’avait rien avoir avec l’incapable qu’elle pensait qu’il est. « tu as choisi lequel, LJ? » il avait poser ses mains sur ses épaules, regardant par dessus sa tête pour voir les choix qu’elle avait.

j'avais un peu l'impression d'être une enfant dans une boutique de jouets ici, la devanture laissait à désirer mais ce qui se cachait à l'intérieur était si beau que ça m'en coupait un peu le souffle. j'avoue passer un peu trop de temps le nez levé et je commençais à en avoir mal au cou. je venais à presser la peau de ma nuque contre la paume de ma main avant de tourner la tête vers Romeo et lui offrir un grand sourire radieux, preuve de ma joie d’être ici. qui aurait crût que de si beaux endroits se cachaient dans les ruelles de la ville ? heureusement que j'avais un adorable -et très sexy- guide touristique pour me faire découvrir de jolis endroits. je ne savais pas trop qui étaient ces deux femmes aux yeux de Romeo mais ils semblaient avoir un lien très fusionnel, un peu comme deux grand-mères avec leur petit-fils chéri. peut-être que c'était ses mamies qui sait, en tout cas pas moi mais, ça m'étonnerait qu'il les appellent noona si elles étaient considérées comme telles. peut-être que c'était juste des amies de la famille. les italiens étaient réputés pour leur bonne humeur quotidienne mais aussi leur caractère extrêmement chaleureux alors, ça ne m'avait pas non plus surprise qu'elles viennent à poser leur lèvres sur mes joues de porcelaines et qu'une des deux ne me tapote le dos amicalement en m'emmenant voir les robes après la demande du garçon. celle qui s'occupait de moi tendait aussi l'oreille pour écouter Romeo parler et lui répondait parfois en italien, langue que je comprenais encore mal malheureusement, tout comme le français alors, ils pouvaient clairement dire des crasses sur moi, je continuerais à sourire. mais il avait finit par changer de langage et s'exprimer en anglais, peut-être pour que je comprenne moi-même ce qu'il était en train de leur expliquer. il aurait pût dire la vérité à ses pauvres dames mais il avait décidé de rester sur le chemin de compliments, à dire que je n'étais pas une étoile parmi tant d'autres mais l'étoile Sirius, la plus brillante de l’amas d'étoiles qui formait la voie lactée. un sourire timide se forma à la commissure de mes lèvres alors que j'avais tourné la tête vers lui et même une petite barre de rouge avait fait son apparition sur mes joues. jamais personne n'avait parlé de moi de cette façon et c'était extrêmement touchant de sa part, parce que plus j'apprenais à le connaitre, plus j'avoue tomber sous son charme. c'était tellement étrange mais avec cette histoire de contrat, j'avais l'impression que ça faisait réellement des années qu'on se connaissait même si il nous restait encore de nombreuses choses à apprendre l'un de l'autre. et d'ailleurs, c'était aussi pour cette raison que j'avais fait comprendre à tout le monde que Romeo était quelqu'un d'aimant, d'impliqué et pas seulement le petit con branleur que beaucoup considérés comme lâche et inutile de porter ce nom de famille. il le méritait tout autant que les autres membres de cette grande famille. et voilà qu'il revenait vers moi, posant ses mains brûlantes sur mes épaules dénudées de part cette robe bustier et doucement, je levais une main pour la poser sur l'une des siennes, continuant de sourire stupidement avant de pointer deux robes du doigts. "j'aime beaucoup la jaune et la vert émeraude mais je saurais pas faire mon choix alors j'ai besoin de toi là pour me décider." parce que c'était compliqué de pouvoir faire un choix définitif quand les deux robes étaient aussi belles l'une que l'autre. peut-être que je devrais aller les essayer et qu'il pourrait m'aider une fois dans les cabines d'essayes ? lui, allait porter un traditionnel costume noir, rien de bien extravagant mais peut-être qu'il pourrait accessoiriser sa tenue avec la couleur que j'avais choisi pour ma robe, ça donnerait un petit peu de peps à sa tenue bien que sa couleur pêche était déjà un appel à la lumière à elle toute seule. "tu préfères laquelle chaton ?" peut-être qu'il allait aussi me dire aucune des deux et qu'il me verrait plus dans un robe sobre, une petite robe blanche pour donner l'eau à la bouche à sa mère ? ou alors une robe noire mais extrêmement élégante et qui en jetait au passage?

trouve toi une gentille femme, un travail qui te plait, n’écoute pas ce que la sorcière te dit et vit dans un pays ou le soleil continuera a coloré tes cheveux. ici c’est ta maison et tu sera toujours le bienvenue. c’est ce que la vielle dame a toujours dit à Romeo, et une fois n’est pas coutume, elle se relance dans son discours d’amour et de passion. cette femme a toujours aimer Romeo comme son fils, en premier lieu car ils ont tous grandit et quitter la maison, en second lieu parce qu’il avait l’air aussi perdu qu’un enfant de la rue. elle passe une main dans ses cheveux, le décoiffé une nouvelle fois et ils se font un calin, en gloussant sans réel but, rire juste pour rire. il retrouve Lara-Jean, son autre grand mère qui saisit la robe émeraude en disant à Romeo que c’était sa préféré. « on a qu’à prendre les deux. je t’offre l’une pour le bas et l’autre… » pour le dérangement, il avait avait de dire pour le dérangement, parce qu’il bousillé un peu les vacances de LJ. peut être qu’elle avait juste envie de lire ses livres au bord de la piscine, peut être qu’elle voulait passer le reste de ses vacances avec ses parents. alors cette robe jaune blé sera son cadeau pour les trois semaines qu’elle a du endurée. « gioiello, nonna? » elle secoue la tête et se retourne pour sortir une boite a bijou remplis de petit collier en or et en argent. romeo pris une chaine et vérifier autour de la nuque de sa compagne qu’elle lui rentrée, il fit un clin d’oeil a sa grand mère pour lui dire que c’est bon. « choisi un pendentif. on aura qu’à dire a ta mère que je t’ai offert un collier en attendant d’aller dans une vrai bijouterie pour la bague? » c’était un bon deal, non ?

tous nos vieux étaient pareils. trouve toi quelqu'un de bien, de riche si possible. ait un travail qui te plaît mais qui paye bien, soit une personne comblée de bonheur, ait une famille soudée mais par pitié tais-toi. j'avoue que lorsque j'avais avoué à ma mère être fiancée à l'héritier Chamberlain, elle avait sauté de joie, pleuré même en me disant qu'elle était fière de moi et qu'elle ne pouvait s'imaginer sa petite fille adorée la quitter pour vivre son histoire d'amour. mais c'était aussi la première à s'exciter pour le mariage, un mariage bidon qui surtout n'aurait jamais lieu. après tout, on avait pas signé pour faire croire à une idylle parfaite jusqu'à la fin de nos jours mais qui sait, peut-être que les choses changeront d'ici là ? en tout cas, je pouvais toujours prouver au garçon qu'il pouvait s'en tenir à une relation de couple malgré ce qu'il pensait ou ce que les gens autour de lui pensait.
la vieille femme me parlait en italien la plupart du temps et comme je ne comprenais pas spécialement ce qu'elle me racontait, je me contentais de sourire bêtement ou de pointer du doigt les robes, hochant la tête tantôt de droite à gauche, tantôt de haut en bas pour lui faire comprendre dans un autre langage ce qui me plaisait ou non. c'était sans doute celle des deux qui parlait le moins bien l'anglais mais elle le comprenait. du moins, au vu de son sourire quand le tonalité de la voix de Romeo avait changé pour passer de l'italien chantant à l'anglais américain dans les sons de basse, elle avait sût ce qu'il racontait. et moi aussi d'ailleurs parce que j'avais pas pût m'empêcher de sourire connement, grandement même à ses paroles. comme si tout ça été vrai, comme si nous deux ça durait depuis déjà plusieurs moi et qu'on ne se cachait pas, que ce contrat n'existait pas. j'avais donc finit par montrer deux robes à Romeo, une jaune blé et une vert émeraude que je trouvais particulièrement jolies. je comptais n'en prendre qu'une des deux, celle qu'il aurait choisis puisqu'après tout c'était lui qui avait le droit de donner le mot final à ma décision mais le français avait opté pour la facilité et jeter son argent par la fenêtre. du moins... m'offrir une deuxième robe pour ? le dérangement. enfin il ne l'avait pas dit mais ça semblait vouloir sortir de sa bouche pulpeuse. en aucun cas il ne me dérangeait, bien au contraire. grâce à lui, je passais des vacances mouvementés et non spécialement à glander sur un transat au bord de la piscine, un bouquin en main et faire mon anti-sociale. là, j'avais droit à une vie de château et même à un petit-ami. des baisers, des caresses et des mots doux. il était un peu mon prince Harry à moi quoi. j'avais gardé ma main contre la sienne, parce que je la trouvais réconfortante et chaude. il s'était remit à parler en italien avant que la deuxième femme, celle avec qui il parlait de sorte une boite et ne l'ouvre devant mes yeux. des bijoux ? pas le temps de souffler qu'il venait à attraper une chaine dorée et me la passait autour du coup. j'avais relevé mes cheveux pour l'aider à l'accrocher et je n'arrêtais pas de sourire. je lâchais finalement ma tignasse claire qui retombait en cascade sur mes épaules avant de me pencher au dessus de la boite. j'avoue que c'était un bon deal et que ma mère nous lâcherait la grappe pendant un moment au sujet de la bague. reflexion intense, voilà que mon choix s'était arrêté sur celui qui formait la lettre R. c'était stupide non? mais au moins, les gens goberont mieux notre histoire, surtout maman et sa famille à lui. "celui-là ?" lui demandais-je tout en tournant la tête vers lui. il suffisait d'un hochement négatif de sa tête et j'opterais pour quelque chose d'autre. "je le trouve sympa. il est simple et discret et en même temps c'est ton initiale alors peut-être que c'est moins ridicule et nian-nian qu'un coeur." néanmoins, je comptais pas sortir de cette boutique sans lui avoir prit moi-même quelque chose en retour, une connerie, un bijou peut-être aussi, une sorte d'alliance qu'il pourrait porter quand ça lui chante.