ils pouvaient le faire, y avait personne, ils pouvaient la prendre, la retourner, faire tout ce que young Romeo a toujours voulu faire avec ces conquêtes mais qui ont toutes eu la flemme de marcher jusqu’ici. son esprit est torturer, aussi parce que la froideur de l’eau venait le faire frissonner, en plus des baiser torride qu’il échanger avec la jeune fille. elle était tellement… tellement tout que les mots lui manque quand il pense à elle. alors les mots se bouscule et il arrive à rien dire au final, il avait peut être juste besoin qu’elle soit, elle aussi consentante de faire une activité sexuelle en pleine nature. « on a qu’à… retournée sur la serviette et.. » baiser comme des lapins. d’ailleurs, Romeo pense qu’il est déjà entrain de se lever pour la demoiselle, ou c’est juste le froid, dans tout les cas, il est déjà tout dur. il s’assoit en premier et invite la demoiselle à venir sur la nappe de table qu’il avait ramener pour qu’ils puissent s’assoir. en réalité, c’est le sheitan qui fourée toujours ce truc dans les affaires de Romeo à chaque fois qu’il sortait quelques part. il tire doucement sur Lara-Jean, en l’embrassant dès lors ou elle était assise sur le matelas. son corps entier avait un gout de sel, et Romeo n’avait pas forcement envie d’y gouter pour l’instant. il se contenter de l’embrasser, en continuant à tater son fessier d’une main ferme. « enlève.. ton haut. » ou pas besoin, il pouvait déjà voir ses tétons à travers son maillot de bain, également dur à cause du froid. il passe un doigt dessus pour le teaser, par dessus le tissus, avant de tirer sur celui-ci pour voir son mamelons sortit. il se penche alors pour le mettre en bouche, rouler sa langue autour de ce petit bout de chair dur. il adorer les seins de Lara-Jean, il adorer dormir sur ses seins, encore plus les tater quand ils dormaient tout les deux. il se redresse, pour l’embrasser de nouveau et pris la main de lara-jean pour le boser sur son boxer, dur, comme il le pensait. « ça me le fait souvent quand j’pense à toi. » dit-il dans un presque gloussement. il avait l’impression d’être en seconde et jouer à touche pipi avec sa première copine, alors que son désir pour lara-jean étaient bien plus grand que ça. par contre, il n’avait rien pour se protéger et là est bien le problème, certes, il n’a coucher avec aucune fille depuis plus de deux mois, mais il n’avait pas forcement envie que lara-jean tombe enceinte, ça rendrait la ruse très réel bien sur, mais ils allaient mettre le bébé ou après la rupture ? ils n’ont pas retourneur de temps comme dans harry potter; alors aujourd’hui, ils vont juste se faire du bien mutuellement et la baise sera reporter, encore, à plus tard. pour le plus grand malheur des Rora Shipper et du zizi de Romeo qui attende avec impatience de découvrir la grotte de Lara-Jean.

faire l'amour dans un lieu public.... n'était-ce pas excitant ? en tout cas pour moi, ça l'été parce que c'était ça qui était bon là dedans, le goût du risquer. risquer de se faire voir par des inconnus qui auraient décidés de se promener par-là ou même se baigner sur cette même plage secrète. risquer de se faire voir par les touristes en hélicoptère ou quelque chose dans le genre. moi franchement, ça ne me gênait pas qu'on nous surprenne en plein ébat amoureux, on était tous formé de la même manière après tout. certes avec quelques différences de tailles mais c'était la même chose chez l'un ou l'autre. de plus, c'était préférable de se rendre sur les serviettes, parce que l'eau commençait à se refroidir et on pouvait clairement en ressentir les effets que ce soit chez Romeo ou chez moi-même. chair de poule, tétons qui pointent, lèvres qui viraient doucement au violet. j'acquiesçais à sa requête. peut-être qu'il ferrait meilleur sur le sable et puis ça serait plus agréable là-bas que dans l'eau. je lui avais pas lâché la main jusqu'à ce qu'il s'assoit. parce que c'était comme ça entre lui et moi depuis une semaine, l'habitude de petit couple, celle de se tenir la main en toute circonstance. même quand on dormait parfois je me réveillée, Romeo la tête contre mes seins et sa main dans la mienne. j'étais restée à genoux sur la nappe de pique-nique tandis qu'il venait à m'embrasser passionnément. ça avait commencé pareil la première fois mais malheureusement, ça s'était finit en fiasco total et par un Romeo qui gerbe tout ce qu'il pouvait toute la nuit, des cernes de six pieds de long et des envies de sieste à n'en plus pouvoir. là, il n'avait rien bût, pas la moindre goutte d'alcool alors j'espère que ça allait être un peu mieux. j'allais retirer mon haut mais de lui-même, il extrait un de mes seins de sa cachette avant de le gober et le torturer. j'en fermais même les yeux tellement c'était agréable, bien plus que quand il me les attrapait en pleine nuit de ses mains brûlantes. le plus mignon c'est que mes paupières en trembleraient presque tellement j'appréciais la chose mais, je venais tout de même à défaire cette lanière qui s’accrochait à mon cou avant de défaire la deuxième et laisser le tissu noir glisser sur moi. puis il revient contre mes lèvres et force ma main dominante à se coller contre son boxer, là où une bosse assez conséquente ne demandait qu'à être soulagée. un rictus se forma à la commissure. "allonges-toi alors." un murmure, juste soufflé chaudement contre ses lèvres avant que je ne force le mouvement de part le fait que je me penchais en avant moi aussi. j'avais soulevé l'élastique de son boxer avant de glisser ma main en dessous, simplement de quoi le détendre pour le moment alors que je saisis son membre pour jouer avec. lui tirant déjà quelques soupirs d'aise voir même quelques grognements de plaisir.

il n’avait rien à se reprocher, il pouvait bien évidement profiter du corps de sa dulcinée. pourquoi se privé d’un tel privilège ? il pouvait se donner corps et âme dans des activités physique et elle était d’accord pour ça, quoi rêver de mieux ? Romeo ne se fit pas priée. il voulait toucher ses seins depuis le premier jour il l’a vue, et il ne se dérangé pas de venir y suçoter le bout de ses dits seins qui pointé juste devant ses yeux. d’abord des cercles, puis il les mordiller avant de les malaxer avec douceur, tout en donnant un baiser mérité à leur propriétaire. la température étaient entrain de monté, ce qui réchauffer assez Romeo qui commencer à avoir froid. Il aide Lara-Jean a se diriger en posant sa main sur son sex, et il ne tardait pas à comprendre le message. elle glisser ses doigts agile sous son caleçon, pour venir agiter avec douceur sa virilité. « doucement…ouai comme ça, c’est mieux. » il soupirer doucement, puis ça se transformer en soupire de plaisir. « rapproche toi.. » elle était pencher au dessus de lui, et il adorer ses seins. il venait alors glisser son entre jambe entre ses deux seins, pour qu’elle puisse le faire la fameuse branlette espagnol (ce n’était pas le bon lieu, mais il me semble que la branlette italienne n’existe pas encore ? si oui il faudrait informer Romeo et Lara-Jean pour qu’ils puissent la faire ensemble, en attendant vaut mieux faire ce qu’on connais.) il laisse son membre glisser de part et d’autre des seins de la jeune femme, c’était tellement bon, qu’il n’allait pas tarder à venir. il suffit que leurs yeux entre en contacte pour qu’il se sente toute chose, qui pouvait résister à ces deux pupilles délicieuse ? et ce visage d’ange ? personne, oh seigneur personne. il se retiens de ne pas venir sur elle, surtout qu’il détester l’idée qu’elle s’en prenne plein dans la tranche sans le vouloir. les vas et vient étaient de plus en plus dur, il sentait les frissons le parcourir, le feux dans sa poitrine le bruler. « t’es géniale. » il le pensait vraiment, maintenant plus que jamais.

j'avoue que si ça avait n'importe qui de mes exs, j'aurais pas spécialement accepté faire ce genre de chose en public, ni même faire de branlette espagnole à qui que ce soit mais Romeo, il avait ce pouvoir sur moi qui faisait que je disais rarement non. après tout, on était encore jeune, on avait toute la vie devant nous alors pourquoi pas profiter un maximum de ce qu'elle nous offrait ? j'avais des gros seins pour rien et visiblement, ça excité pas mal monsieur Chamberlain qui même si j'étais en train de m'occuper de sa virilité, ne pouvait s'empêcher de suçoter mes pointes rosées, rouler sa langue autour de ces dernières pour me tirer quelques réactions agréables. dès qu'il parlait, il en avait le souffle court et avait du mal à terminer une phrase sans la couper toutes les deux secondes pour reprendre son souffle. puisqu'on avait rien pour se protéger, valait mieux qu'il kiff son après-midi baise sur la plage d'une autre manière. son excitation entre mes seins et je comprenais directement ce qu'il voulait. c'était pas compliqué à savoir non plus, ou alors il fallait être stupide et ignorant pour ne pas savoir ce qu'il désirait. alors doucement j'avais pressé ma poitrine l'une vers l'autre pour appliquer une pression adéquate et j'avais commencé à faire quelques mouvements contre son membre, quand ce n'est pas lui qui bougeait de lui-même pour accélérer un peu le rythme ou au contraire le faire ralentir. j'essayais de pas trop le regarder au début, pour me concentrer sur son plaisir à lui mais une fois que j'avais croisé ses belles prunelles, j'arrivais plus à m'en détacher. c'était impossible de sortir de cet océan sombre, c'est comme les abysses, c'est fascinant, plaisant, mystérieux et peut-être dangereux mais c'était plaisant le danger. un rictus étira mes lèvres et s'étira d'avantage à ses paroles avant que je ne décide de me pencher un peu plus pour sceller un délicat baiser en guise de remerciement, parce que j'allais pas lui retourner le compliment mais voilà qu'on avait sacrément ralentit la cadence et que je pouvais dès à présent laissais le garçon s'amuser a sa guise jusqu'à ce qu'il décide de venir peu importe où si ce n'était pas mon visage. j'avais attrapé sa nuque pour le tirer un peu plus vers moi et me contentais de l'embrasser à pleine bouche tout en restant assurément mignonne dans mes gestes. les français savent bien embrasser comme la légende le dit, et bien, la légende à totalement raison ! Romeo c'était le pro du roulage de pelle pour le coup voire même le pro pour chauffer des gonzesses du haut de ses dix-neufs ans.

Romeo est toujours passionné, peut être qu’il avait oublié cette sensation quand il joué du piano, mais il la retrouver, maintenant, tout de suite, alors que ses doigts se promener le long du corps de lara-jean. il n’existe qu’eux deux, rien qu’eux et ils s’embrassent fougueusement en se touchant mutuellement. Romeo tire sa douce contre lui, elle avait bien travailler, et les frissons qu’elle lui avait procurer n’avait pas disparue, ils étaient toujours là, dressant ses poils et son entre jambe. il la tire pour que son dos soit coller à lui, et qu’il puisse avoir le libre service sur tout le reste de son corps. dans cette position, il pouvait accéder à son entre jambe de sa main droite, pendant que la gauche venait caresser ses tétons durcit par l’excitation. non pas que romeo est un délire particulier avec les seins, c’est juste qu’il avait ceux de lara-jean sous le nez toute la journée, alors parfois, il avait juste envie de les masser, pour lui faire du bien, et aussi parce que ça fait le dont de le réchauffer. son corps était un délice, peut être que c’st cette semaine qui la rend si délicieuse, sa douceur dont elle était maitresse, ce pouvoir de tout remettre en ordre rien qu’avec la penser, s’exclamer et s’extasier à chaque fois qu’il raconter une histoire à peine drôle. tout ça rentrée en compte, si ce moment était si délicieux, c’est parce que tout ça rentrée en compte. le souffle de Romeo était court, quand il fini d’embrasser sa douce, ses baiser venait caresser sa nuque, en millier de léger baiser. sa main venait alors caresser son ventre plat, avant de descendre jusqu’à son entre jambe et venir titiller son bouton du bout de ses doigts. il faisait des mouvements circulaires, pressant de temps en temps celui-ci, avant de le secouer énergiquement. il pouvait sentir sa belle bouger au rythme de ses caresses, alors qu’il continuer à délivrer ses milles baiser. elle était si belle, et le son de ses gémissements étaient si doux, qu’il ne pouvait s’empêcher de continuer à rester dur pour elle. et puis, c’était son fantasme absolue, cette crique si idyllique ou il a imaginer toucher les seins d’une nana pour al première fois, ou il s’est perdu les yeux dans la mer à se demander ce qu’il fouter sur cette terre, ou il s’est isoler pour ne plus entendre le bruit énerver de sa mère. c’était son repère, son point de départ. je vous l’est dit, tout ça rentre en compte. le corps de lara-jean vibrer contre le sien, il avait les yeux clos, profitant de chaque partielle de sa peau tendu pour le recouvrir de baiser, il ne voulait qu’elle, maintenant, tout de suite, elle n’était pas une candidate lambda, elle était l’élue. car sans elle, ce moment serait aussi croustillant qu’un crackers tremper dans un candy up.

Romeo avait le don de connaitre le corps de ses partenaires dans les moindres détails. c'était comme une partition de musique pour lui et nous, nous n'étions qu'un vulgaire piano qui se faisait toucher pour créer une douce mélodie dont nos gémissements seraient l'accord principal de tout cet ensemble. le piano c'était un instrument fragile et si puissant à la fois. on l'entendait dans une sonate, il avait ses parties de solo, il pouvait nous faire sentir l'émotion comme la colère en un changement de rythme et voilà ce que le jeune Chamberlain savait faire de mieux. jouer de son instrument préféré qui n'était autre maintenant que ma personne. il avait commencé en douceur pour augmenter en gravité à sa manière. après une balade délicate sur sa virilité, il m'avait attrapé pour venir coller mon dos contre son torse brûlant et collant de manière à me prendre au dépourvu comme une mélodie dont les accords changeraient sans prévenir du tout au tout. et pourtant c'était si agréable de se dire être à la merci de quelqu'un, de pouvoir faire confiance à quelqu'un sur l'une des choses les plus précieuses qui soit. parce que c'était pas tellement de la baise qu'on était en train de faire là. ça y ressemblait mais c'était à s'y méprendre puisqu'on unissait nos corps d'une certaine façon. on liait d'avantage nos âmes entre elles pour qu'elle ne forment qu'un sur du long terme. c'était de l'amour pur et dur. cette petite étincelle qui naissait dans la poitrine et qui tanguait au gré d'une musique dont Romeo était le seul maître. un frisson intense parcourut ma chair lorsque sa main descendit sur mon ventre pour finir par se caler contre mon intimité, se qui me lachait un soupir d'aise. comment ne pas résister à tout ça ? ce cadre magnifique, cette passion meurtrière qui s'écoulait des doigts du prodige de Julliard ? si je devais décrire tout ça en une seule musique classique, ça serait sûrement mariage d'amour de Paul de Senneville. une mélodie douce et prenante aux tripes en même temps. sûrement la plus jolie musique que j'ai eu pu écouter de toute ma vie. c'était un peu nous ça, un mariage bien qu'il allait finir de façon désastreuse.
alors qu'il venait à torturer mon bouton, je ne pouvais m'empêcher d'exprimer mon excitation par des râles délicats et surtout pencher la tête en arrière pour la reposer contre l'épaule du garçon alors que des papillons prenaient vie dans mon ventre à chaque fois qu'il appuyait un peu plus fortement dessus. j'avoue aussi bouger hanches par pur réflexe mais la façon qu'il avait de jouer avec mes nerfs étaient d'une divine esquisse qu'il était difficile pour moi de rester neutre à tout ça et moi-même j'avais fermé les yeux pour profiter un maximum. le laissant s'amuser avec mon corps, le torturer puis l'apaiser avec tout ces petits baisers qu'il ne cessait de poser sur mon être comme un enfant désolé et qui voulait se faire pardonner. ou simplement, un garçon qui se serait apprêté à faire sa première fois avec une fille plus âgée que lui pour qu'elle lui apprenne tout les tricks de la vie sentimentale et sexuelle qu'elle connaissait depuis bien longtemps. c'était dommage quand même de ne pas pouvoir réellement coucher ensembles, je suis sûre à cent pour cent qu'il serait aussi habile de son corps que de ses doigts. une fois qu'il fut à hauteur de mon visage, j'en avais profiter pour celer une nouvelles fois nos lèvres dans un baiser romantique à souhait, presque en le suppliant de laisser tomber les préservatifs pour une fois.