montrer les photos de son fils plus jeune aka le passe temps favori des mamans qui les voient grandir trop vite et qui rêveraient retrouver leur petite bouille d'amour innocente et bien loin de ce qu'ils sont maintenant. néanmoins, j'avoue me demander si Romeo avait déjà fait des photos en famille, de conneries du genre, porter des tee-shirts de Mickey Mouse à Disneyland Paris ou quoi, autre que les photos de famille un peu trop culs coincés. de celles qu'on emmenez au bureau et qu'on montrait aux collègues pour faire voir au autres à quel point on pouvait avoir de la tune. moi ce qui me ferrait rire ça serait de voir les photos compromettantes de monsieur Chamberlain. on en avait tous, moi de même. "bah... je préfèrerais regarder ces photos avec toi en fait, que tu me parles de toi au moment des photos. ta mère était pas dans ta tête à ces moments-là." d'ailleurs, à quel âge il avait réalisé l'emprise de sa mère sur lui ou même qu'il avait une grande responsabilité dans sa famille ? pas le temps de lui poser un millier de question que déjà on venait à s'embrasser, à prouver aux gens du campus que oui, lui et moi on était ensembles alors que, que nenni. enfin.... c'était plutôt super étrange comme relation c'était un non, mais en même temps un oui. finalement, on s'était levés à sa demande avant de marcher un peu jusqu'à chez moi. c'était vraiment pas loin, juste cinq petites minutes de rien du tout où on avait continuez à parler de sa mère pour que je puisse bien la cerner et peut-être faire du lèche botte dès qu'on partirait sur New York. mais rapidement, on était arrivés chez moi. Romeo avait posé la bouteille de champagne sans chercher à comprendre sur le comptoir du bar et on était directement allés dans ma chambre. Edgar n'était pas là, il était invité chez des potes à jouer à Donjons et Dragons et dieu seul sait à quel point ça peut prendre un temps fou cette merde. alors j'avais pas prit la peine de fermer la porte. sait-on jamais si quelqu'un venait à toquer pour une livraison ou si Yura avait eut une envie soudaine de me traîner au bar ou au mcdo à quatre heure du matin, qui sait. j'avais donc posé mes affaires de cours sur mon bureau, retirant mes chaussures au passage avant de regarder Romeo se déshabiller du coin de l'oeil. il est déjà fatigué ? j'arquais un sourcil avant de le rejoindre dans le lit de force puisqu'il m'avait saisit le bras pour me mettre sur les draps. regard fixé au plafond, ce n'est que lorsque Romeo bougeait que j'avais enfin lâché cette foutue tâche des yeux.

des baisers, des caresses. ça recommençait comme à Capri mais est-ce que ça allait finir comme Capri ? ça j'espérais pas. parce que c'était bien beau de faire des préliminaires mais ne pas passer à l'acte s'était clairement frustrant. alors quand il me tirait contre lui, je venais moi de même glisser sa main sous son haut, glissant mon index le long de son torse avant que les baisers ne deviennent plus passionnés, plus réels même. je lui avais retiré cette dernière couche de vêtement aussi vite que l'éclair, le jetant je ne sais trop où dans la pièce avant de revenir coller mes lèvres aux siennes. mes mains avaient finit par se poser dans son dos, glissant contre sa taille et voire même se glisser jusque sous son boxer. j'avais envie de lui, clairement, il avait réussit à me chauffer au bar et là, c'était pire. c'était comme une envie irrépressible d'enfin arriver à baiser avec lui. je le fis alors basculer avant de le chevaucher et le laisser me retirer cette robe, robe qu'il m'avait d'ailleurs offerte en Italie tandis que moi, je venais à faire quelques mouvements de bassin contre le sien, sagement pour l'exciter.

« on verra ça, à New York. » sa voix était rauque, presque mielleuse. En réalité le sheitan, n’avait pas autant de photo de Romeo que ça. elle avait les premiers ou ils vivaient encore ensemble, des souvenirs cristallin qui sont rester dans la mémoire du jeune homme comme des souvenirs intouchable. il n’en parle jamais, ne les évoquent jamais, parce que pour lui, y toucher serai les salir et il a surtout peur que tout ça, s’envole en fumer comme si ça n’avait jamais exister. il avait une peur bleu de ça, que les choses qui ont un gout sucrer dans sa vie deviennent soudainement amère, et qu’il ne reste plus que des souvenirs en carton. il secouer la tête pour arrêter d’y penser. et surtout parce que leurs petites marches est terminé. Romeo lache un long soupire, avant de lacher le reste de ses affaires, un peu partout dans la baraque. il avait laisse la bouteille sur une table lambda, avant de se déshabiller dans la chambre de la coréenne. Ici, tout avait l’odeur de Lara-Jean, la pièce entière avait cette odeur de noix de pécan, de gel douche à la madeleine et de framboise. des odeurs qui était devenu familière pour le jeune homme. il n’avait pas eu le temps de regarder autour de lui, mais il avait déjà l’impression de se sentir observer par les figurines et les poster qui se trouver un peu partout dans la pénombre. à vrai dire, il voulait juste s’allonger, respirer un bon coup, tout ça en ayant les jambes écarter en étoile. est-ce qu’il allait de nouveau s’endormir ? oh hell no.

il avait la dalle. pire que le premier soir ou il avait vu Lara-jean, il avait la dalle et il n’avait pas la dalle parce qu’il avait trop beau et que son coeur palpiter et son corps réclamer à manger. non, il avait faim parce qu’il a eu des tendresses et des caresses toute la soirée et qu’il avait envie de beaucoup plus maintenant. quand il tire la jeunette contre elle, elle ne se fit pas prier pour le rejoindre, elle devait être affamé aussi, après 2 tentatives de baise raté cet été, ça devait être frustrant. il savait que derrière ce petit minois ce cacher une vrai tigresse et il avait bien raison. leurs corps commencer à se chauffer l’un l’autre, brulant de désire et de passion, l’un envers l’autre. les baiser et les caresser commencer à se mélanger avec ardeur. il toucher son corps de la paume de sa main, saisisait avec envie la peau de ses fesses quand il fini par virer son bas. il jouer avec le tissus de sa culotte, qu’il tirer avec douceur, quand elle le pousse pour le mettre sur le dos, il se laisse faire. et elle le chevauche sauvagement en venant frotter son entre jambe avec le sien. Romeo était soul et excité, il ne lui fallait pas plus pour sentir la bosse dans son pantalon se redresser. il bascule alors les rôles pour la mettre allongé et lui retire sa culotte, qui était de trop. Il saisit son engin dans sa main et venait caresser l’entrée de la jeune fille alors le bout de son pénis, avant de la pénétré avec douceur. il commence alors des vas et vient lent, les mains de part et d’autre du visage de la demoiselle. Lara-Jean devait savoir qu’il apprécier particulièrement les pov et que c’était donc un délice pour lui d’être au dessus de la jeune fille pour la voir mourir de plaisir. les vas et vient viennent alors de plus en plus rapide en elle, accompagner de gémissement rauque de la part du jeune homme.

New York, j'en étais devenue soudainement impatiente mais je l'étais bien plus de pouvoir partager quelque chose avec Romeo. Enfin. parce qu'on avait tentés plusieurs fois de faire quelques chose sans qu'il ne se passe quoi que ce soit. du moins rien était un grand mot. on connaissait un peu l'anatomie de l'un et de l'autre sans pour autant qu'il n'y ait eut de pénétration. alors maintenant qu'on était tous les deux, on pouvait profiter à notre guise du corps de l'autre et je ne m'étais pas faite prier pour rapidement prendre le dessus. Romeo était quelqu'un qui adorait les pov et je savais qu'il reprendrait la dominance rapidement mais pour le moment, j'avais surtout envie de lui montrer que c'était pas mauvais de se laisser aller de temps en temps sous le corps de sa petite-amie. quelques mouvements de bassin et voilà qu'il était déjà excité au plus au point, au point au y avait déjà reprit le contrôle des choses. et j'avais soudainement un peu froid puisque Monsieur Chamberlain avait décidé de me virer ma culotte. moi, je m'étais chargée de retirer mon soutien-gorge avant de le faire tomber au pied du lit. il s'était lui aussi foutu totalement à poil avant de caresser mon entrée et finir par y pénétré avec délicatesse. hallelujah, on avait enfin réussit à faire quelque chose ! un soupir d'aise s'échappa alors de mes lèvres avant de le garçon ne vienne à commencer ses vas et viens? d'abord lentement puis il venait à les accentuer, les rendre plus puissants et j'avoue que même le lit avait du mal à rester en place. ma respiration se haletait et mes gémissements en devint entre-coupés. je changeais de temps en temps de position avant de finir par mettre un jambe contre le bas de son dos pour être un peu mieux caler et puis comme ça, j'avais un peu plus de sensations, un peu plus de gémissements aiguës. je venais aussi un peu à tirer pour qu'il s'abaisse pour qu'il puisse venir à m'embrasser encore une fois avec fougue parce que j'avoue que c'était carrément pas déplaisant et qu'en plus, même si il voulait baiser façon pov, fallait aussi un peu innover !

Chamberlain avait un minimum de respect pour Lara-Jean pour n’avoir rien fait avec elle, dès le premier soir. bien qu’il aurait voulu être très physique avec elle, dès le début, son père lui a toujours dit qu’une fille qu’on apprécie vraiment, on attend le bon moment pour avoir une connexion parfaite avec elle. le problème, c’est que la connexion parfaite, il l’a depuis le début avec Lara-Jean, mais le sex était étrange, comme un sujet d’about, comme un meuble qu’on veux monter mais qui fini par jamais ce faire parce que le mode d’emploie est écrit en suédois. alors quand l’occasion se présente enfin, Romeo se sent un peu presser, il a envie que ça se scelle, que ça se fasse réellement, alors il force comme un bourrin et il a bien compris dans le gémissement - non dans le cris de surprise de Lara-Jean, que de son côté c’était pas vraiment ready. -
alors après la premier coup de rein, il ralentis la chose. il se penche vers elle pour l’embrasser de nouveau, avec douceur et sensualité. il caresse sa nuque et descend jusqu’à ses hanches qu’il visite de nouveau du bout de ses doigts. il redécouvre ses courbes magnifique qu’il a tant apprécier cette été, pour enfin l’agripper avec plus de fermeté et continuer des vas et vient plus costaud. il sent les frémissement le traverser et il peut voir aussi, les poils fin de lara-jean se dresser face à ses gestes. son visage posséder par l’envie et la saveur délicieuse que de faire un avec l’être qu’on apprécie réellement. Romeo ne cesser de grogner à son tour, des vas et vient de plus en plus fréquent. il aide LJ a monter sa jambe, pour lui donner plus d’ampleur, place qu’il prend volontiers en venant se coller plus près de son entre jambe. il l’embrasse de nouveau, douceur sans fin quand leurs deux lèvres se rencontre. puis vient nicher une centaine de baiser dans la peau de sa nuque, y laissant par ses gardes une marque bleuté. lui qui déteste laisser des traces, ce mord les lèvres inférieur en se jurant de ne plus le refaire, mais il avait encore envie, envie de couvrir tout le corps de lara-jean pour prouver son appartenance. peut importe l’homme qui la regardera, il saura qu’elle est déjà à quelqu’un, que ses nuits sont déjà agiter. et ses baiser continuer jusqu’à sa poitrine, il y déposer quelques baiser avant de venir malaxer ses seins de ses deux mains libres. tâtant avec délice ces deux merveilleux ballon. le lit se met alors a grincer, suivant les vas et vient de Romeo, dans cette danse endiablé dont le seul son était leurs deux gémissements se mêlant l’un à l’autre. jusqu’à… ce que le lit s’effondre. « merde, merde, merde. » le contact fut rompue, et Romeo reste stoïque. « ça va ? tu t’es fait mal ? y a rien qui t’es tomber dessus ? » il fini par se lever pour voir l’ampleur des dégâts, ils sont maudit ma parole m a u d i t.

malgré les a-coups assez puissants que Romeo mettait dans son bassin, il n'en était pas si sauvage pour autant, bien au contraire. il n'était que douceur et délicatesse, amour et tendresse. des baisers par-ci par-là et des caresses sur les hanches. tout ce qu'on pourrait aimer chez un homme naissait chez Romeo comme une petite flamme vacillante qui prenait vie, allimenté par quelque chose. et ce quelque chose, ça ne devait être que moi. il avait ce regard pétillant, celui qu'on avait que lorsqu'on apprécié réellement quelqu'un. ce regard passionné et cette envie de vouloir vraiment partager quelque chose, construire quelque chose bien que notre histoire était basée sur de la fiction. mais elle était jolie cette histoire. elle était belle et étrange comme une fan-fiction sur Wattpad. ce que j'appréciais par dessus tout, c'était ces petits baisers dans le cou, ceux qui laissaient des marques, ceux qui marquait un territoire. mademoiselle Kim n'était plus que la propriété de monsieur Chamberlain. nos gémissements bien qu'à fréquences extrêmement différentes se mêlés avec harmonie, comme une sonate de Beethoven. j'en venais à triturer ses mèches couleur pêche entre mes doigts graciles, serrer mes mains contre son dos pour garder un minimum le rythme avant même de venir à mordiller la joue du français d'un geste adorable. tout ce passait pour le mieux, jusqu'à ce que le lit ne décide de rompre sous nos mouvements. j'avais prit tellement peur sur le coup que j'avais serré Romeo contre moi aussi fort que possible avant qu'un 'aïe' ne sorte de ma bouche après mettre prise une partie du sommier dans la tête. j'avais posé une main sur la blessure. rien de grave si vous voulez tout savoir mais j'aurais sûrement un bon joli bleu demain matin. un moment de silence et j'avais ouvert les yeux pour fixer Romeo, cherchant à savoir de part le regard si lui aussi été blessé. "ça va t'inquiètes. ça picote juste un peu." je marquais une pause avant de venir attraper son visage entre mes mains et la lui tourner de droite à gauche avant de caresser sa joue. "ça va toi ?" lui demandais-je. j'avais tout pour soigner les petits bobos dans la salle de bain mais bon, j'aurais préféré éviter la catastrophe. "j'suis désolée... j'pensais le lit un peu plus solide que ça." c'était fichu pour continuer non ? je me redressais doucement avant de soupirer. au final on allait dormir où cette nuit ? surêmement pas dans la chambre d'Edgar, il nous tuerait si il le savait.

C’était presque un rêve devenir réalité, toute l’attente qu’ils avaient du endurer, tout les occasions raté qu’ils n’ont pas pu prendre. il s’imaginer parfois la réveiller en pleine nuit, tout dur, mais il avait fini par renoncer à l’idée de la déranger dans son sommeil précieux. C’est avec plaisir qu’il venait alors la caresser, profiter de cette peau si douce qui était sien désormer. les marques bleuté qui décors sa nuque était la preuve réel de ce qu’ils étaient l’un pur l’autre. pourtant, tout ça est faux.. se dit la voix intérieur de Romeo, est-ce que c’était vraiment faux ? est-ce que ses gémissements qui remplissait la pièce était fausse ? est-ce que ces caresses qui le rendait toute chose était fausse ? est-ce que les mains tendre de Lara qui venait jouer avec ses cheveux étaient faux ? est-ce que les lèvres de Romeo qui se balade sur son corps dénudé était faux ? il n’en avait pas l’impression. il avait déjà gouter à sa chair, mais ça l’excité encore plus de savoir que le cap avait était passer. les coups de reins étaient violent, presque un peu trop, mais il n’en pouvait rien Romeo, il était excité, il était désireux du corps de déesse qui s’offrait devant lui, du souffle court qu’il avait à chaque fois que son corps se mêler à celui de sa douce Nymphe. et puis d’un coup, la rupture.
le lit s’effondre, Romeo est éjecter au pied de Lara-Jean, un pied pourtant du lit venait lui taper sur la tête. « Oui, ça va, j’ai rien. » il soulève la tête pour voir les dégâts et fait une grimace. bordel, c’était ni l’heure, ni le moment d’aller chez ikea, il soupire. « Non t’en fait pas, j’aurais pas du.. » donner des coups aussi violent ? il se met alors a glousser, c’était vraiment débile comme situation et une chose est sure : ils sont vraiment maudit. il tend un drap à Lara pour qu’elle puisse se couvrir et ne pas attraper froid, quand à lui, il retrouve son caleçon sous une couche de poussière et le secoue pour le remettre. « J’vais juste bouger le matelas. » dit-il en poussant sur les pieds du lit qui s’était effondrait, c’était le sommier qui avait pas résister, il avait pas remarquer qu’il trembler pendant l’action. Romeo tire alors sur le matelas et ballait rapidement tout les morceaux de bois dans une des poubelles ouverte de Lara-Jean, il descendra lui même les morceaux quand il partira demain matin, mais ils n’avaient pas fini ce qu’ils avaient à faire, alors il s’en ficher pas mal. quand le lit est remis sur pied, il tire doucement sa douce sur le matelas a présent au sol. « au japon ils baisent par terre de toute façon. » dit-il dans un sourire. elle était de nouveau près de lui, et il profiter de ce rapprocher pour passer ses cheveux d’un coter, afin d’observer ses marques bleuté. il pourrait s’excuser, mais romeo en est presque fière, il y dépose d’ailleurs un nouveau baiser avant de remonter le long de la nuque de la jeune fille et venir jusqu’à sa bouche qu’il embrasse de nouveau. il la tire ensuite pour la mettre de nouveau assise sur lui et attrape ses hanches pour qu’elle puisse se frotter à lui. il était moins excité que tout à l’heure, alors ils pouvaient avoir des préliminaires digne de se nom. de plus, savoir que sa copine était toute chose pour lui, ça lui faisait quelques choses. « enlève ça. » dit-il en faisait descendre de nouveau le drap de sa personne, il aimer la voir nue, entièrement, devant lui. il se passe enfin quelques choses sur ce matelas, il devait être bien triste de voir Edgar bander sur Lara tout les soirs, sans jamais la toucher. t’en fais pas matelas, j’men occupe.

Romeo et Juliet, le destin des amants maudits acte quatre. -oui, parce que Juliet, c'est mon troisième prénom en plus- après deux tentatives râtées et des préliminaires au lagon bleu de Naples, voilà que cette fois-ci, c'est le lit qui avait décidé de nous porter préjudice. un lit qui pourtant était censé être solide. merci à la propriétaire d'avoir oublié de mentionner ça dans le contrat de location... on s'était retrouvé par terre. sur le matelas bien évidémment mais au sol. Romeo grimaçant quelque peu et relevant le visage et moi en passant ma main contre l'arrière de ma tête, surtout pour vérifier que j'étais pas en train de pisser le sang. j'avais fini par m'inquiéter un peu pour lui et après qu'il m'eut rassuré, j'avais attrapé le drap qu'il me tendit avant de me redresser et l'enrouler autour de moi. pas de chichi, j'avais juste placé ça au niveau de ma poitrine, laissant mes épaules à l'air libre et je regardais Chamberlain faire son petit homme de ménage tout en me montrant qu'il savait se débrouiller dans les situations imprévues. moi, j'aurais lâché les bras et j'aurais déplié le convertible du salon mais il avait fait preuve de bon sens. "tu veux pas que je t'aide un peu ?" lui demandais-je avant de voir qu'il refusais, peut-être pour éviter que je ne me blesse encore une fois ? une fois qu'il eut installé le matelas un peu plus loin, j'avais sortit une main du draps avant d'attraper la sienne et me laisser tirer vers lui. puis un petit rire s'échappa de mes lèvres à ses mots. j'avais envie de lui dire que je considérais pas ça tellement comme de la baise. que c'était plus que ça, qu'entre nous il y avait cette alchimie puissante mais je préférais me taire, simplement pour lui souffler. "essayes de pas y aller trop fort cette fois-ci, que le matelas parte pas trop loin." on sait jamais, j'ai pas envie que lui aussi se retrouve à mille kilomètres de là. je m'étais assise en face de lui, en tailleur et je l'observais faire, décalant mes mèches d'un côté avant de regarder avec insistance ma nuque. moi pendant ce temps, je laissais ma main libre se balader sur ses cuisses, remontant le long de son torse et ses bras, venant caresser sa mâchoire et finit par sourire stupidement à ses petits baisers. je m'étais donc assise sur le français, le laissant bouger mes hanches à sa guise avant que je ne revienne à l'embrasser goulument. je retiré alors le drap pour le poser à côté de nous. je caressais son torse, descendant jusqu'à sa taille et venant saisir son membre avec délicatesse pour y appliquer quelques vas et viens.

Romeo riait bêtement à la situation, c’était plus qu’une coïncidence. à chaque fois qu’ils essayer de copuler, les astres leurs riaient au nez avant de leur envoyer une malédiction. mais Chamberlain étaient bien décidé à rompre cette malédiction. Il voulait que ça se fasse, quitte à repasser par des préliminaire interminable, encore et toujours. il avait viré ce qui rester du lit de Lara-Jean pour venir s’installer sur le lit, le dos contre l’un de ses murs porteurs. il l’avait entrainer avec lui et commencer de nouveau ces caresses et ces douceurs pour la faire entrée doucement dans le bain. il ne se langui pas de la douceur dont elle est fait, ses mots ne sont que romance et ses gestes aussi. Les doigts du blond passe sur sa nuque, avant de visite de nouveau sa peau tendue, jusqu’à ses hanches qu’il saisit avec insistance. il pose ensuite ses lèvres dans une douceur inée, qu’il balade le long de sa nuque, avant de venir se coller sur ses lèvres rosés. leurs corps recommence doucement à se chauffer, l’un contre l’autre, en attente de l’acte fatidique. tout deux aller devenir des boules de chaleur, pousser par le désir et l’envie de ne faire qu’un, partageant gémissement et souffle court. « t’es magnifique.. » il ne peux pas s’empêcher de lacher ces mots en français, les yeux droit dans ceux de sa compagne, alors que ses doigts venait saisir le membre du jeune homme. il ferme les yeux pour profiter de ce geste, des milliers de frissons parcourant alors son corps, le desir naissant dans sa poitrine commencer à s’enflammer à petit feu. il penche la tête en arrière, ne peut s’empêcher de lacher des grognements de plaisir. ses mains viennent continue de caresser le dos de la jeune fille, de ses hanches à son fessier qu’il essayer de tâter. les vas et vient se font de plus en plus rapide, il peut sentir la main de la jeune fille se déchainer sur lui et le feu qui brûle de plus en plus. ses mains viennent alors à caresser la chevelure de la gamine, puis descend sur sa nuque qu’il touche du bout de ses doigts. « je vais venir, arrête toi là. » et il saisit ses mains dans les siennes, à vrai dire, il voulait pas venir tout de suite, l’excitation devait durée pour qu’elle puisse en profiter aussi. il redresse sa tête pour l’embrasser de nouveau, ses mains viennent se caler sous son dos pour la mettre allongé. ses baiser venait alors caresser sa nuque, puis sa poitrine, puis son ventre jusqu’à arriver sur son entrée. elle était assez tremper, alors il glisse un doigt en elle, puis vient se remettre à sa hauteur. un simple doigt pour la tatillonner, la faire danser du bout de ses doigts, la faire venir pour qu’elle profite également de l’action. ils l’avaient déjà fait au par avant, et il ne se languis pas du spectacle de sa petite amie qui se tortille de plaisir sous ses doigts. « ça va, mon coeur? » dit-il suivit d’un sourire au coin, tout près de son oreille.

moi je parlais pas français, les seuls mots que je savais dire, c'était la politesse de base mais j'avoue que lorsque Romeo s'était exprimé en français, mes lèvres s'étaient étirées dans un sourire agréable et j'avais juste soufflé un petit "merci." mielleux avant de poser un baiser contre ses lèvres délicieuses et frottant le bout de mon nez contre le sien. j'avais pas comprit un mot de ce qu'il avait dit mais je suis sûre que ça devait être quelque chose de mignon, en tout cas, au vu du ton qu'il avait prit, ça devait l'être. pour ma part, je laissais ma main glisser contre son membre dans de doux vas et viens que j'accélérais de temps à autre pour changer de cadence et réussir à lui tirer des gémissements, des grognements rauque plus qu'agréable à l'oreille. en fait, même si on avait été coupé en plein acte, on était tout les deux résignés à prendre tout les deux, finir ce qu'on avait commencé sur ce lit maintenant complètement défoncé. tout les petits touchers que Romeo appliquait sur mon corps, tout ces gestes délicats me procuraient un milliers de petits frissons et dressait les poils de mon corps. pendant que je le torturais doucement, je ne m'empêchais pas de venir poser mes lèvres contre sa bouche, ses commissures voire même sa mâchoire jusqu'à ce qu'il me demande d'arrêter avant qu'il ne vienne un peu trop rapidement. "t'es bien trop mignon comme ça." lui dis-je avant de me redresser moi aussi, suivant son mouvement. c'était vrai hein, il était vraiment mignon quand il était envahit par le plaisir et ça me rappelait agréablement l'Italie et cette crique secrète. et voilà qu'on inversait nos places, et que je ne frissonne une nouvelle fois sous ses gestes. sous ses muqueuses que j'aimais tant. mes yeux suivais son minois qui descendait avec lenteur jusqu'à mon entre jambe qu'il venait à triturer avec douceur. j'avoue être assez réactive, surtout quand j'étais bien excitée et puis rien que les paroles de Romeo susurrées près de mon oreille me rendait toute chose alors qu'il me demander seulement comment j'allais. "on ne peut mieux." et j'avais tourné doucement la tête vers lui pour reprendre ses lèvres entre les miennes, laissant quelques gémissements s'échappés entre deux reprises d'air.

Elle était encore plus belle qu’en Italie, parce qu’ici elle était dans son élément. il passait ses bras autour de son dos pour la faire tomber en arrière, faisant bien attention de ne pas lui faire mal. Il maintenait se même dos pour ensuite embrasser son corps avec envie, s’arrêter devant son entre jambe pour se redresser ensuite. il volait continuer à avoir sa peau contre la sienne, et ses lèvres également. alors il resta à sa hauteur pour l’embrasser, pendant que ses doigts venait caresser son entre jambe. d’abord il titiller son bouton pour faire la faire réagir, ensuite il continuer le traitement en enfonçant un doigt en elle. il se mis alors à la recherche de son point G, en continuant bien évidement à l’embrasser. à l’embraser aussi, il l’allumer à petit feu, il souffler doucement mais surement sur les flammes de leurs désir mutuel. il aimer avoir son corps près d’elle, il aimer se dire que si demain il voulait tenter quelques choses fantastique, d’inhabituelle, d’atypique, elle sera toujours la première à dire oui. parce qu’il avait confiance en elle, et parce qu’il pouvait compter sur elle. ce jeu prenait trop d’empleure, que ce soit dans la vie de Romeo ou dans celle de Lara-Jean. mais il est trop tard pour arrêter, la machine est déjà lancer, et tout le monde sait que quand la machine est lancer, on doit attendre que le linge tourne avant de le retirer. son excitation étaient à son comble, il n’en pouvait plus d’entendre ses gémissements, son corps brulant et ses lèvres généreuse, il voulait ne faire qu’un avec elle. sceller enfin ce je ne sais quoi qui brule entre eux deux. « Je peux y aller? » il n’avait pas attendue de réelle réponse, son corps répondait pour elle. elle était tremper et ne cesser de gigoter. Romeo se placer alors au dessus d’elle pour venir de nouveau la pénétré, pour la deuxième fois. il y allait plus doucement, malgré son envie immense. ses vas et vient son long, et doux, il caresse sa poitrine du bout de sa langue, les mains de par et d’autre de ses épaules. il redresse ensuite son visage pour venir de nouveau se nourrir de sa chaire, y laisse des marques bien voyante, tel deux adolescents expérimentant leurs amours naissant.