gémissements sur gémissements, il avait réussit à me mettre dans tout mes états en seulement quelques mouvements en moi. il faut dire que j'étais excité, que j'en pouvais déjà plus de sentir mon cœur battre la chamade, mais qu'il arrivait à le faire battre encore plus vite, encore plus fort au point où je me demandais quand est-ce que ça allait rompre, quand est-ce qu'il se déciderait à sortir de ma cage thoracique ? mon cœur brûlait, comme si un incendie était en train de faire brasier à l'intérieur de moi et ça faisait du bien. en fait, la machine était lancée depuis Capri, à pleine vitesse, un peu comme la locomotive dans retour vers le futur trois. elle fonçait, dépassait sa vitesse de croisière pour se précipiter dieu seul sait où. elle avait bien évidemment des points d'aiguillage mais souvent elle les ratait ou elle faisait semblant de ne pas les voir. entre lui et moi, c'était pas physique, ça pouvait pas être physique puis qu'on avait des atomes crochus dès le premier soir. en fait, c'était différent, c'était un tout qui faisait qu'on s'entendait bien, qu'on se manquait à l'un l'autre et qu'on avait étrangement besoin de l'autre dans notre vie. il me demandait si il pouvait y aller. Romeo était bien trop délicat quand il faisait l'amour alors que pourtant c'était pas cette institution qu'on lui apprenait dans les pornos et surtout dans les pov. j'allais pour lui dire oui mais il avait déjà enfoncé son dard en moi, avec douceur ce qui m'avait fait pousser un long soupir d'aise avant qu'il ne recommence ses vas et viens avec une pure sensibilité, le truc qu'aucun mec n'avait fait avec moi je crois. il était tellement respectueux que je me demandais comment un mec avec autant de sex-appeal que lui pouvait être aussi doux ? bon, il avait tout de même une terrible obsession pour mes nichons mais est-ce que j'pouvais lui en vouloir ? non. parce que pour un mec c'est rassurant une paire de gros seins, c'est genre.... maternel et ça les ramènent inconsciemment à leur petit âge. alors quand il suçotait mes pointes roses, je venais à glisser ma main dans sa tignasse pêche, de quoi la serrer doucement entre mes doigts et peut-être pour essayer de contenir mes grognements qui étaient un peu trop présents. puis il venait à mordiller la peau de mon cou tel un petit suceur de sang vivant la nuit, et il était toujours délicat dans ses gestes, comme si j'étais une poupée de porcelaine, un objet fragile et extrêmement précieux. alors je laissais mes mains glisser le long de son dos, mes ongles rippants légèrement sa chair, pas de quoi le blesser j'vous rassure et mes doigts se serraient parfois contre lui quand il venait à donner un coup un peu plus fort que les autres. limite j'avais envie que ça aille plus vite mais j'avais pas envie que ça se termine rapidement. j'avais envie d'être sienne des heures durant si c'était possible mais pour l'instant, j'étais sienne de part ces marques qu'il laissait sur ma peau, un peu partout pour déterminer son territoire. j'aurais pas assez de fond de teint pour cacher tout ça mais bon... tant pis. au pire on avait tous une vie sexuelle sur le campus -ou pas- mais tout le monde savait que c'était normal de sortir avec des marques violettes sur soi.

il l’avait rentrée. le peuple entier hurle derrière eux, et les anges gardiens de Romeo dresser un couteau contre tout évènement menaçant de gâchant ce moment. ils y étaient enfin, Romeo ne pouvait pas le croire, son corps entier était entrain de trembler sous le poids de l’évènement. il se devait de rendre hommage à ce matelas qui n’a jamais vu une paire de boule sortit. il lui devait bien ça après l’avoir séparer de son amis le sommier. Romeo avait mentit, il jouer encore de la musique, et son instrument n’est rien d’autre que le corps de la jeune kim lara-jean. chaque toucher sur son corps de porcelaine faisait un bruit délicieux, et chaque geste rendait l’instrument encore plus féroce. quand les vas et vient se font de plus en fort, il peut sentir les doigts de la jeune fille s’accrocher à lui, d’abord avec ses doigts qui glisser sur son dos tremper par la transpiration, puis ensuite avec un peu plus de férocité en agrippant avec ses ongles. Il évite tout eyes contacte pour ne pas tomber dans ses yeux, dans ses prunelles si douce qu’il pourrait fondre sous son regard. Ses gémissements étaient magnifique, tout comme elle, au moment même ou il oser poser ses yeux sur son visage satisfait. il continuait à donner des coups léger, pour ensuite commencer à donner des coups de plus en plus féroce. pas assez pour faire bouger le matelas, mais tout de même. leurs gémissements s’élever dans la pièce, ne laissant que ces bruits regner dans la place. les seins de Lara-jean suivait le mouvement de bassin, s’agitant dans tout les sens, ce qui donner encore plus de frissons au jeune homme. il les saisit pour les masser, les claquants l’un contre l’autre, se rappelant de la branlette espagnol de cette été. il les redresser en suite pour tomber sur le dos, laissant à lara-jean l’occasion d’être maitresse du jeu. de plus, il avait une vue magnifique sur sa petite amie, et sa poitrine généreuse. « fais moi rêver. » il avait murmurer ses mots à son oreille, embrassant cette dernière, avant de se laisser tomber sur le dos, ses doigts caressant avant lenteur le corps de la jeune fille.

lorsque le plaisir était trop intense pour moi, j'avais la facheuse habitude de m'exprimer de nouveau dans ma langue natale. alors, présentement avec Romeo, je n'avais pas échappté à la règle et le moindre petit gémissement qui franchissait la frontière qu'était mes lèvres se transformait en un truc ultra mignon, assez aiguë mais calme néanmoins. du moins, c'était pas vraiment des mots qui sortaient de ma bouche, c'était des semi-mots, des trucs entre-coupés par des reprises d'air ou des baisers. Chamberlain c'était le mec qui pouvait te montrer qu'il avait envie de te baiser comme un petit sauvageons mais qui au final était le mec le plus délicat qui soit sur le planète. c'était déroutant et parfaitement plaisant à la fois. j'essayais de m'accrocher à lui pour tenter de calmer les choses mais rien à faire. il avait chaud, il mourrait de chaud même et mes mains glissait le long de son corps alors la seule chose à faire était de l'aggriper, enfonçant mes ongles dans sa chair sans pour autant me montrer sauvage. j'avais jamais été comme ça au lit avec un mec, c'était peut-être parce qu'il avait prit le temps de me connaitre de ce point de vue là? qu'il s'était intéressé à ce qui pouvait me faire plaisir et non pas seulement ce qui pourrait lui faire plaisir à lui. et franchement, c'était bon à quel point je m'en foutais que mes voisins puissent entendre quoi que ce soit de mes ébats amoureux. parce qu'à des moments, il arrivait à me tirer de ses sons que bonjour, moi-même je ne savais pas que je pouvais les sortir. puis il s'amusait avec mes seins et un rictus se formait à la commissure de mes lèvre me rappelant à quel point cet été, il les avait adorés. d'ailleurs, eux aussi avaient été marqués par les suçons de Romeo chose qui allait être difficile à cacher puisque j'en avais un peu partout dans le cou, sur le haut du torse et les épaules. damn... il était résigné à marque son territoire celui-là. finalement, il avait tout lâché pour s'allonger contre le matelas, m'emmenant avec lui dans sa bascule pour que je finisse par me retrouver au dessus de lui, le voyant me laisser prendre le contrôle. c'était drôle quand même non, de prendre le dessus alors qu'on savait pertinemment que la personne en dessous préférait nettement dominer la chose alors, je ne m'étais pas faite prier pour commencer à nouveau à bouger mon bassin de haut en bas dans un rythme assez lent et sensuel au départ, de quoi démarrer les choses en douceur. j'aime pas tant que ça prendre le dessus, j'suis un peu trop timide pour ça mais j'essayais, j'faisais des efforts pour Romeo, parce qu'il méritait au moins que je puisse me montrer avenante dans nos relations sexuelles. de longs frissons parcourut mon corps à ses moindre toucher avant qu'une de mes mains ne vienne se caler contre son torse, plus précisément au niveau de son sternum pour avoir un certain appui alors que je venais de passer une vitesse en allant légèrement plus vite, laissant le garçon bouger ses hanches au même rythme aussi pour continue cette harmonie parfaite qui nous unies depuis le début. sans compter l'incident du lit... mais ça, je jure que les anges sont de notre côté maintenant et qu'ils voudraient qu'on puisse profiter de tout l'amour qu'on puisse recevoir ici bas.